Elisabeth Hangleton

Nom :
Hangleton

Prénom :
Elisabeth

Age :
21 ans

Sexe :
Féminin

Lieu de naissance :
Dans le château Hangleton, aux alentours de Londres.

Lieu de détention :
Londres.

Durée de condamnation :
Perpétuité.

Histoire personnelle :

I- L'esprit ailleurs

« Elisabeth ! Qu'avez-vous donc aujourd'hui à rêvasser ? Remettez-vous au travail ou je ferai part à votre père de votre attitude irrespectueuse ! »

Une jeune fille à l'air mélancolique sursauta, surprise. Perdue dans ses sombres pensées, elle était restée là, comme paralysée, la main droite en l'air, la tête de l'aiguille qu'elle tenait agilement entre son pouce et son index pointant vers le plafond du salon principal de la demeure Hangleton. Elisabeth posa son doux regard sur sa mère, qui, les bras croisés, tapotait nerveusement du pied droit sur le parquet brillant, récemment ciré.

« Pardon, Mère. J'étais perdue dans mes pensées. »

Et quelles pensées ! La cadette Hangleton avait passé sa nuit plongée dans ces réflexions, il lui fallait réfléchir certes vite, mais surtout bien : De quelle manière allait-elle tuer son beau-frère ?

II- Les Hangleton

Pour comprendre ce qui a fait d'Elisabeth devenir ce qu'elle est aujourd'hui, il faut tout d'abord connaître sa famille, et l'univers dans lequel elle a vécu. Bien qu'elle soit, comme vous et moi, une terrienne ayant connue et vécue durant le 21ème siècle, sa vie, son éducation, ses connaissances, ainsi que tous les principes qui mènent sa vie sont totalement différent des nôtres.
Edward Hangleton, le père d'Elisabeth possédait plusieurs terres en Iran, contenant des puits pétroliers. C'est ainsi qu'il avait établi toute sa fortune, qu'il avait rajouté à celle héritée de sa famille ( appartenant à la vielle noblesse anglaise ). Tout le travail de gestion avait été confié à un employé, ami de confiance. C'est ainsi que dans sa vieille demeure Hangleton, loin de toutes zones urbaines, il pouvait vivre comme bon lui semblait, avec sa femme Catherine. Les Hangleton, sont ce qu'on appelle des marginaux. La société actuelle, urbaine, industrielle, ne les intéressait pas, et même les répugnait. La pollution, les nouvelles technologies qui, soi-disant, permettait de "faciliter la vie", tout cela ne leur inspirait que du dégoût. Edward et Catherine firent tôt le même choix que leurs parents respectifs avaient fait, de vivre comme leurs ancêtres du XVIII ou XIX siècles ; d'éduquer leurs enfants, tout comme eux avaient été éduqués, leur inculquer les mêmes bases, les mêmes règles, les mêmes principes.
Lorsque Morgane et Elisabeth naquirent ( à seulement une année d'intervalle ), elles furent élever comme des demoiselles de la riche bourgeoisie anglaise. Dès leur plus jeune âge, elles apprirent donc les bases pour être une future bonne maîtresse de maison. On leur enseigna comment une maison doit être tenue, quelles sont les tâches ménagèrent à faire, dans quelle ordre doivent-elles être faites, de quelle manière ; pareil en ce qui concerne l'entretient des habits, draps et autres linges, de la décoration de la maison, de la cuisine et de toutes les tâches d'une parfaite maîtresse de maison. Bien évidemment, ce n'est pas à elles de faire cela, cependant, leur rôle est d'organiser et de surveiller les domestiques. Leur mère leur apprena le comportement et les manières de toute bonne bourgeoise qui se respecte ( se tenir droite, le comportement à table...) ainsi que les règles de politesse et de respect en présence d'hommes et/ou de personnalités importantes. Catherine enseigna à ses filles l'art de la couture, le plaisir de la lecture, le chant ainsi que le piano. Morgane s'intéressa aussi au violon tandis que, Elisabeth, elle, était plutôt attirée par les jeux de réflexion, en particulier des échecs.
Leur père leur apprit l'équitation, seulement Elisabeth préférait plus s'occuper des chevaux que les monter. Bien que très curieuse, elle n'était pas du genre courageuse. Elle appréciait énormément les promenades, seule ou accompagnée, peu lui importait. C'était surtout pour sortir, voir la nature, la découvrir, l'apprendre. Elle s'amusa dès sa plus tendre enfance à reconnaître plantes et animaux dont elle avait pris connaissance dans ses livres. Appréciant se cultiver, dès qu'elle avait du temps libre, elle le passait à la bibliothèque, c'est ainsi qu'elle devint incollable en ce qui concerne les plantes, les animaux, le jardinage, la cuisine et la médecine ( seulement pour ce dernier, c'était uniquement de la théorie, jamais de la pratique ). Sa curiosité l'amenait parfois à aider en cuisine et en jardinage, seulement, c'était plus de l'amusement que du travail, et quand elle était déçue, fatiguée ou autres, elle laissait tout en plan, et partait se reposer, laissant aux domestiques le soin de ranger et nettoyer ce qu'elle avait fait.
Ne vous méprenez pas. Edward et Catherine Hangleton n'étaient pas des monstres qui souhaitaient cacher leurs enfants du monde extérieur. Et on peut dire que c'est cela qui les différencie totalement d'autre marginaux de leur genre ( pensée envers les Amish ). Morgane et Elisabeth savaient qu'il y avait un monde, totalement différent du leur, juste à leur côté. Leurs parents leur avaient expliquer ce que c'était, comment c'était. Les Hangleton avaient acheté des livres de photos sur ce que je me permets d'appeller "notre monde", ils avaient même acheté une télévision, afin que leurs filles puissent voir d'elles-même ce qu'était ce monde étranger, sans qu'elles aient l'impression que leurs parents leur cachent quoi que ce soit.
Les filles Hangleton furent vite dégoûtées de ce monde grisâtre et triste, et si dangereux. Durant une semaine, elles regardèrent des reportages, des films, elles furent particulièrement dégoûtées des polars et autres, où il y était histoire de trahisons, meurtres et autres stupidités.
Elisabeth et Morgane demandèrent à leurs parents de faire d'ailleurs disparaître la télévision.
La cadette Hangleton était curieuse de tout, sauf de notre monde. Elle préfèrait de loin s'intéresser à des choses plus gaies, plus naturelles, plus belles.

C'est donc dans cet univers qu'Elisabeth Hangleton grandit et évolua.

Morgane et Elisabeth étaient très proches, bien que totalement différentes. Morgane était naïve, au caractère rebelle, têtue, sûre d'elle, impossible à blesser, à détruire. Elisabeth admirait cela chez sa soeur, cet optimisme, elle avait la conviction qu'il y a, sous chaque malheur, un bien, qu'il ne fallait jamais douter, que la vie était merveilleuse malgré parfois les peines et décpetions qu'on avait. Morgane était souriante, jamais sa soeur ne l'avait vu un jour pleurer ou se plaindre. Elisabeth était la confidante de sa soeur, son journal intime, elle lui confiait tout, absolument tout.

III- Quand les Français débarquent...

Gregory de la Roche-Sur-Mont était un jeune vicomte français. Tous ceux qui vivaient dans ce milieu savaient que certaines familles, aussi bien Françaises, Anglaises ou Espagnoles, continuaient à vivre comme leurs ancêtres. Grégory trouvait l'idée amusante , mais ne se voyait pas faire ça à son tour. C'était inutile et stupide. Mais, quelque chose allait lui faire changer d'avis.
Il assistait à une vielle de ces soirées mondaines anglaises, ces soirées l'ennuyaient, la vie mondaine l'ennuyait. La vie de riche, il détestait. Quand on a tout ce qu'on veut d'un claquement de doigts, la vie devient monotone et faite simplement de faux-semblants. Grégory était ce genre de sarcastique, qui restait dans son coin, à observer les autres tout en sirotant du champagne.
Cependant, au travers de la foule, il vit quelque chose, quelqu'un, qui le perturba. C'était une jeune femme de sûrement 20ans, aux cheveux longs et blonds, délicatement brossés, habillée avec une élégance peu commune, qui, malgré toute l'agitation alentour, lisait, assise sur un des canapés du salon où se déroulait la réception.
Intrigué, Gregory demanda à un ami qui elle était. « Arf... Elle s'appelle Elisabeth Hangleton, tu sais, elle appartient à ce genre de familles qui vivent comme nos vieux, je te conseille pas de te jeter là dedans, c'est bien trop compliqué... ». Cependant, Gregory tenta sa chance et alla donc parler à la cadette Hangleton, charmée par sa distinction et son expression calme et tranquille. Et c'est ainsi que, respectant toutes les règles de bonne conduite qu'on lui avait appris, il alla discuter avec la seule fille qui l'avait à ce jour, charmé.
Ils discutèrent longuement, tout d'abord de livres : Shakespeare, Hugo, tous les classiques. Elisabeth semblait intéressée par leur conversation, en effet, elle était du genre à apprécier toute bonne discussion. Cependant, quand Gregory commença à se vanter de ses possessions ( la toute dernière mercedes qu'il venait de se procurer, un bijou ), l'Anglaise l'arrêta d'un geste de la main. Elle n'était pas intéressée par ces objets qu'elle qualifiait d'"écœurants". Gregory comprit alors, que pour rentrer dans le cœur de la douce Elisabeth, il lui faudrait rentrer dans son univers, et donc quitter le sien. Après qu'il ait expliqué ses intentions (nobles) aux parents Hangleton, ceux-là, le sourire au coin de bouche, acceptèrent de l'héberger dans leur demeure. Et c'est ainsi que, pendant plusieurs mois, Gregory passa ses journées aux côtés d'Elisabeth, qui lui apprenait quel comportement se devait avoir un vrai vicomte. Gregory accepta sa nouvelle vie sans mal, étrangement, il se sentait vivant et heureux. Être loin des grandes villes ne le gênait absolument pas, et vivre dans cette ambiance lui plaisait énormément. C'était assez étrange, mais très passionnant.

Vint un jour où Gregory se vit à demander à Elisabeth si elle accepterait qu'ils soient plus proches que des amis. Flattée par la proposition, Elisabeth dut cependant refuser. Non pas que la jeune Hangleton n'était pas intéressée par la proposition, seulement, elle ne pourrait avoir de relation de ce genre avec lui que s'ils étaient mariés. Et selon l'étiquette, elle ne pourrait être mariée que lorsque sa sœur aînée le sera. Et bien qu'étant une jolie fille, Morgane n'avait jamais reçu de proposition de mariage. Son caractère rebelle et obstinée déplaisait à la plupart des hommes. Gregory acquiesça, triste de savoir qu'il lui faudrait longtemps attendre avant d'un jour pouvoir, ne serait-ce que passer ses doigts dans les cheveux de celle qu'il chérissait tant.
Ne pouvant accepter cela, Gregory ne voyait qu'une solution : trouver un mari à l'aînée des Hangleton. Il envoya donc une lettre à l'un de ses amis de "l'autre monde", Valéry. C'était un ami d'enfance, qui depuis l'adolescence n'avait cessé de lui répéter que son rêve était de trouver une femme jolie, de caractère, qu'il pourrait épouser. Il était las de toutes ces filles idiotes, qui ne savaient que rire et acquiescer de la tête, obéissant à n'importe quel ordre qu'on leur donnait. Grégory expliqua à son ami qui était Morgane, et lui proposa de la rencontrer une fois, au cas où, le prévenant tout de même dans quel "monde" ils vivaient.
La chance était avec eux, dès la rencontre avec Morgane, Valéry eut le coup de foudre. Il dut lui aussi se résoudre à quitter son "univers", mais cela ne lui posa pas de problèmes. L'Amour rend les hommes capables de tout. Quelques mois plus tard, Valéry demanda la main de Morgane à son père, qui accepta sans une once d'hésitation. Edward avait vu lui-même le jeune homme évoluer et totalement changer afin de pouvoir conquérir le cœur de sa fille, il en était plus qu'heureux de voir enfin sa fille avec un homme obstiné, qui avait tout fait pour elle.
Mais celui qui se réjouit réellement à cette idée de mariage, c'était Gregory, qui, au fond de lui ne pouvait que penser « Enfin ! ».

Tout allait bien dans le meilleur des mondes.

Seulement, Gregory n'avait pas pensé à toutes les conséquences de son plan. Certes Valéry était un très bon et fidèle ami, mais c'était aussi un homme, qui avait connu et vécu dans ce qu'on appelle « la jet set », ce milieu chaud aux filles très... ouvertes. Il était habitué à toutes sortes de situations dont Morgane et Elisabeth ignoraient totalement l'existence. Et après la cérémonie de mariage, vint le soir : le moment tant attendu par Valéry ( ou plutôt par ses hormones de mâle ). Morgane savait que ce soir-là, elle découvrirait ce qu'étaient les relations "amoureuses". Et quand vint le moment, elle fut de suite dégoûtée par cela, elle trouvait immonde ces corps transpirants qui se frottaient, ces mains qui caressaient son corps.
De suite, elle repoussa Valéry, lui expliqua qu'elle n'aimait pas ça et que donc, ils ne le feraient que lorsqu'ils décideront d'avoir des enfants. Cependant, Valéry n'était pas de cet avis, depuis tout ce temps qu'il avait attendu, de pouvoir enfin toucher le corps si... excitant de Morgane, ce n'était pas pour recevoir un refus. Et bien que le caractère rebelle de Morgane lui plaisait, bien qu'il était amoureux, il ne fallait pas exagéré, il ne pourrait vivre sans relations sexuelles. Alors, tandis que sa femme se mit en position pour dormir, Valéry l'empoigna violemment.

Le lendemain, pour la première fois de sa vie, Elisabeth vit sa sœur avoir une triste mine. Lorsqu'elle tenta de s'approcher d'elle, qu'elle lui toucha l'épaule, Morgane se déroba et partit s'enfermer, seule, dans un des salons. Elisabeth, inquiète, se dit que ça passerait. Cependant, le jour suivant, Morgane semblait encore plus triste, plus silencieuse, et bien qu'elle fasse semblant d'être heureuse en présence de ses parents, Elisabeth, elle, voyait bien que quelque chose n'allait pas. Une semaine passa, puis un mois, et l'état de Morgane ne cessait d'empirer.
Un jour, Elisabeth qui n'arrivait plus à se retenir, coinça sa sœur dans un coin et la força à lui dire ce qui se passait. Morgane décida alors de tout raconter à sa confidente de toujours. Elle lui raconta les coups qu'elle recevait quand elle n'obéissait pas, les insultes, et ce que Valéry forçait à lui faire faire... Des choses horribles, qu'Elisabeth ne pourrait pas comprendre. Cependant, Morgane esquissa un sourire : « L'Amour n'est pas aussi idyllique qu'on se l'imaginait, ma chère. Cependant, promettez moi de faire attention à vous lorsque cela vous arrivera. »
De son côté, Gregory avait lui aussi "enquêté" auprès de Valéry, mais celui-ci affirma que lui non plus ne comprenait pas ces changements. Le pire était que ce n'était même pas des mensonges. Non il ne comprenait pas. Pour lui, les femmes, point de vue sexuel, ne se devait que de satisfaire leur partenaire, ça avait toujours été ainsi avec ses autres conquêtes, pourquoi pas Morgane ? Mais il se cacha tout de même bien de dire cela à son ami.
Après avoir réfléchi, Elisabeth avait, un soir pris la décision que pour que sa sœur redevienne comme avant, il fallait se débarrasser de celui qui avait causé ce pénible changement. Elle se garda bien d'annoncer sa décision à qui que ce soit, même à Gregory.

IV- Retour à la réalité

« Seigneur, regardez-moi, vos points sont tous ratés ! J'abandonne, vous n'êtes réellement pas concentrée. J'en discuterai avec votre père ! »

Tandis que Catherine Hangleton, fâchée, quittait le salon en claquant des talons, Elisabeth lâcha ses affaires de couture en se levant brusquement.
Elle avait trouvé.

« Elisabeth Hangleton est accusée du meurtre de Valéry du Moyer, vicomte Français. Au moyen d'arsenic versée dans une tasse de thé qu'elle lui fit apporter, elle le tua. C'était un meurtre prémédité. Comme vous l'avez entendu, le premier témoin, Morgane Hangleton, nous a avoué qu'après la mort de son mari, sa sœur lui a murmuré "Maintenant, tu es libre". De plus, l'accusée à elle-même admis qu'elle était la coupable. »

Morgane avait porté plainte contre sa sœur. Et celle-ci était maintenant condamnée à perpétuité ( elle pourrait sûrement sortir lorsqu'elle ne serait plus considérée comme un danger pour la société, vers ses 70ans ). Gregory, totalement effondré et surpris par la situation, lui avait dit qu'il dirait que c'était lui qui avait tué Valery, mais Elisabeth avait refusé. Elle avait fait ce choix, le choix de faire ce péché, elle devait assumer.
Depuis, sa sœur désormais la haïssait, elle méritait donc cette peine. Elisabeth avait refusé contact avec ses parents, elle ne les regardait pas durant le procès, elle ne voulait pas subir leur regard, leur jugement.
Quand elle se retrouva enfermée en prison, elle se mit à tout détester, cet horrible ensemble orange qu'on lui forçait à porter, sa cellule grisâtre. La bibliothèque ne comportait que peu de livres, et les autres prisonnières étaient d'une vulgarité horrible... La nourriture... Il ne valait mieux pas en parler. La découverte du monde "normal" lui avait donné de nombreux maux et nausées. Alors, quand elle entendit parler de cette histoire de cryogénisation, elle sauta sur l'occasion. C'était un échappatoire étrange, mais un échappatoire tout de même. Cryogénisée, elle ne penserait plus, ce serait comme une mort temporaire, pour oublier...
Et puis, toujours aussi curieuse, Elisabeth, toujours intéressée par la médecine et ses progrès, avait hâte de voir où cela la mènerait, c'était la première fois qu'au lieu de se contenter de la théorie, elle ajoutait la pratique.

Histoire professionnelle :

Comme toute bourgeoise, Elisabeth Hangleton était une excellente maîtresse de maison. Tout ce qui concerne le ménage, la cuisine, le linge, la décoration, le jardinage, la couture étaient parfaitement su par la jeune anglaise. Il fallait rajouté à cela ses passions : la médecine, les animaux, les plantes. La nature en général. Passionnée par les jeux de réflexions comme les échecs, Elisabeth s'y connaissait en stratégie.
Il est aisé de comprendre que Miss Hangleton est beaucoup mental que physique. Elle n'a pas vraiment eu de vie professionnelle, n'ayant pas besoin de travailler pour vivre. Elle n'a jamais vécu seule, sans domestique pour la servir. Et durant le peu de temps qu'elle passa en prison, elle n'eut comme corvée que celle du linge.
Sans aide lorsqu'elle se réveillera, elle ne pourra pas survivre. Il lui faudra apprendre ce qu'est un réel travail et trouver sa place dans la société désormais installée.

Description physique :

Si elle est d'une taille très moyenne pour une demoiselle de son âge (environ 1m60), Miss Hangleton compense par l'insolente beauté de ses traits et de son corps : de type anglais, elle possède une peau pâle d'une douceur d'une pétale de rose, son visage est d'une parfaite finesse. Dotée de magnifiques yeux de chat d'un bleu azur, de sourcils qui soulignent un front lisse caché cependant par une frange ; ainsi que d'une bouche aux petites mais douces lèvres d'un rouge foncé rappelant étrangement la couleur du sang et au parfum de cerise, Elisabeth a un nez fin et droit, des joues légèrement rosées comparées à la pâleur de sa peau, ainsi qu'un profil, s'il est volontaire, affirmé et gracieux. Tout ce visage est entouré d'une énorme et longue chevelure blonde. Très lisses, ses cheveux ne sont ornées que d'un bandeau noir, en tissu.
Son corps est souple comme une liane et façonné de courbes abruptes mais délicieuses. Cependant, ce n'est pas sa beauté qui la fera survivre dans le monde du 3ème millénaire, elle n'est pas du tout forte, soulever 1 kilo est quasiment impossible pour elle.
Elisabeth est une jeune fille à l'apparence fragile, malgré cela, elle passe difficilement inaperçue, s'habillant avec la distinction qu'il se doit.
Elle décida de se faire cryogénisée dans la robe que lui offra son amant Gregory, nécessitant cependant le port d'un corset ( et de sous vêtements, évidemment ).

L'Anglaise possède une démarche sûre et déterminée, se maintenant droite comme un i. L'expression de son visage était, auparavant, calme, avec une pointe de mélancolie, cependant, dès son arrivée dans le monde actuel, elle adopta une expression hautaine et dédaigneuse, remplie de dégoût envers ce qui l'entoure. Aucun sourire ne semble pouvoir se dessiner sur son visage.
Sa voix, quant à elle, ne s'élève pas plus haut qu'un murmure.

Caractère :

D'un regard, il est facile de voir à quel point Elisabeth est fière d'être ce qu'elle est : elle s'assume entièrement et ne regrette absolument les décisions et les choix passés. L'Anglaise éprouve une certaine fierté aussi, au vue de ses nombreuses passions : la cuisine, le jardinage, l'étude des plantes et animaux, et la médecine. Ce sont des terrains qu'elle connaît parfaitement, je ne vous conseille de vous y aventurez si vous n'avez que quelques vagues notion, car elle sera vous remettre à votre place. A part cela, Elisabeth est une personne ouverte, à l'écoute des autres et qui déteste la solitude. Cependant, la jeune fille a encore du mal à accepter ce monde, et, bien qu'elle fasse du mieux qu'elle peut, elle a du mal à supporter les personnes vulgaires et irrespectueuses. Cependant, elle n'est pas du genre à critiquer ouvertement ou derrière le dos, elle garde ses jugements et ses sarcasmes pour elle-même, elle n'aime pas blesser les autres.
Au fond d'elle, Elisabeth est totalement déchirée, ne supportant pas l'idée que le lien qui la reliait à sa sœur se soit brisée. Depuis, Elisabeth sait qu'elle n'arrivera plus à accorder sa confiance en qui que ce soit, à être attachée. Cependant, elle ne se laisse pas abattre, et fera tout pour s'en sortir. C'est une personne obstinée, déterminée, qui ne perd pas espoir facilement. Mais, bien que spirituellement combattante, Miss Hangleton n'est absolument pas du tout courageuse, elle a toujours évité les situations dangereuses, de peur de se blesser.

Une caractéristique à savoir sur elle, c'est qu'elle est une très bonne chrétienne, croyante, certes, mais aussi pratiquante.

Signes particuliers :

Elisabeth a toujours sur elle un médaillon représentant la vierge Marie, médaillon offert par Gregory.

Je viens de la finir, et très bonne fiche =)

(Re)-bienvenue

Mais pourquoi écrire une histoire aussi longue ???

Tu veux ma mort ou quoi ?

J'ai eu un mal de chien à en venir à bout tout de même.

Quoiqu'il en soit, ta fiche est acceptée, validée, tamponée, emballée, c'est pesé !

Soit la (re)bienvenue !!!

Donc, si j'ai bien compris Junko...
Plus c'est long, plus tu risques de mourir ??

Ah ah !!!
J'ai trouvé =)

Très cher Miss Hangleton, pourriez vous rajouter 4 ou 5 pages d'hsitoire de plus ( T'as vu la politesse face à une... comptesse ? )

J'allais pas la raccourcir, je l'ai écrite il y a un an quand je m'étais inscrite et il n'y avait pas eu de plaintes.
Désolée pour vos yeux Monsieur ^^

IMMENSE comme histoire !!!

Incrédibeuleu !

Je me sent toute petite à côté.

Respect !!!!

Merci merci publique...

Arretez les applaudissements, c'est trop

Ah euh, on m'annonce que c'est pas de moi qu'on parle ???

C'es possible ça ?? O_o

Comme vous pouvez le voir, mes preoblème de "seriosités" s'ameliorent pas XD

Sympathique fiche, appréciable par sa longueur ( quoi ? on a déjà vu plus long aussi ! bref) et par une narration agréable. On s'attache vite aux personnages !

Bref, rebienvenue parmi les fous !

et nan, Hadri, le marché des fleurs a singulièrement agmenté ces derniers temps :p