Nom : Jorg
Prénom : Rimelda
Age : 35 ans
Sexe : féminin
Lieu de naissance : quelque part en Colombie.
Lieu de détention: prison militaire de Guantanamo
Durée de condamnation : à vie
Histoire personnelle : Rimelda est née quelque part en Colombie, mais ignore où, étant orpheline depuis toujours. Lorsqu'elle avait tout juste trois mois, elle fut déposée dans un panier devant l'église de Santa Monica à Bogota. Elle fut alors envoyée dans l'orphelinat catholique de la capitale colombienne et suivi une éducation strictement religieuse distillée par les bonnes soeurs. Elle grandit parmi tout un tas d'autres petites filles privées d'amour comme elle.
L'orphelinat était mixte mais garçons et filles étaient séparés et ne se côtoyaient jamais. Avant d'être adulte, Rimelda ne sut pas ce qu'était un homme et ce qu'était le sexe. C'est l'un de ses compagnons de son unité militaire qui lui apprit. L'homme et la femme étaient en effet tombés amoureux l'un de l'autre, mais il fut tué en mission peu de temps après. Rimelda se promis alors de ne plus jamais retombée amoureuse.
Elle a gravit rapidement les échelons de l'armée jusqu'à devenir capitaine. Là, elle s'engagea alors dans les commandos avant de rejoindre plus tard une unité de mercenaire.
Histoire professionnelle : Rimelda était orpheline et vécue dans un orphelinat catholique en Colombie. Elle reçut une bonne éducation mais lors de son départ de l'orphelinat, à l'âge de 18 ans, elle ne souhaita pas suivre d'études quelconque. Au lieu de cela elle s'engagea dans l'armée, espérant probablement trouver un sens à sa vie. Elle servit dans l'armée de terre, puis se dirigea ensuite dans les commandos. Elle prit part à de nombreuses opérations contre les rebelles et les trafiquants de drogues dans la jungle colombienne. Lors de l'une des ses opérations, elle dut faire équipe avec une unité de mercenaire portant le nom de La Muerte Blanca (La Mort Blanche) et sympathisa avec leur chef, Alphonse. Se rendant compte qu'elle pourrait se faire plein d'argent en tant que mercenaire et s'offrir ainsi une retraite dorée, elle quitta l'armée et rejoignit les mercenaires.
Elle fit avec eux de nombreuses missions dans tous les endroits chauds de la planète.
Ayant décidé de prendre sa retraite après près de vingt ans passé dans la clandestinité, Alphonse fit de Rimelda sa remplaçante à la tête de La Muerta Blanca. Pour lui, elle avait indéniablement les qualités requises pour être chef.
Dès lors, Rimelda dirigea l'équipe de mercenaire avec une main de fer dans un gant de velours.
La Muerta Blanca se retrouva un jour engagée par un richissime homme d'affaire pour une mission très périlleuse : récupérer un prototype de détonateur nucléaire.
La mission se déroula au Pakistan, mais rien ne se passa comme prévu. L'objectif ne se trouvait pas dans le lieu qu'on leur avait indiqué et les mercenaires tombèrent dans une embuscade.
Rimelda compris rapidement qu'on leur avait tendu un piège. Quelqu'un souhaitait visiblement se débarrasser d'eux pour une raison inconnue.
Rimelda fut la seule à s'en sortir vivante et rendu folle de rage par la mort de tous ses compagnons, elle projeta d'éliminer celui ou celle qui lui avait tendu ce piège.
Par l'intermédiaire de son réseau de contact, créé au fil des années de clandestinité, elle trouva la trace de la personne en question et organisa son assassinat.
Cette personne n'était autre qu'Alphonse. Pendant sa retraite dans un paradis fiscale, ce-dernier avait été contacté par un milliardaire qui voyait en La Muerte Blanca, une entrave à ses ambitions. Il proposa à Alphonse une somme d'argent si vertigineuse, que l'homme oublia instantanément toute notion de fidélité ou d'amitié. En le retrouvant Rimelda compris qu'il avait été définitivement corrompu par le fric et n'avait plus rien d'humain.
Elle le tua sans hésitation de quinze balles dans le corps, mais fut arrêtée par la CIA. Celle-ci espionnait la jeune femme depuis longtemps et lui avait tendu un piège afin de l'appréhender. C'était en effet la CIA qui avait lâchée l'information sur l'endroit où se trouvait Alphonse et n'avait plus eu qu'à attendre que Rimelda pointe le bout de son nez.
Elle fut emprisonnée après une mascarade de procès à la prison de Guatanamo. Là bas, elle fut interrogée et torturée sans relâche pendant des mois entier mais elle refusa de donner la moindre informations sur son réseau de contact et les multiples commanditaires de ses missions passées.
Meurtrie par la mort de tous ses compagnons et la trahison de celui qu'elle avait toujours considérée comme son mentor, elle rumina sa vengeance envers l'homme ayant corrompu Alphonse et envoyé les mercenaires à la mort.
C'est alors qu'un homme se disant appartenir au Pentagone vint la trouver dans sa cellule et lui proposa de transformer ses conditions de détentions. En acceptant, Rimelda ne s'attendait pas à se retrouver cryogénisée...
Description physique : Rimelda a les cheveux bruns mi longs, les yeux noirs et possède un regard pénétrant. Elle mesure un mètre soixante quinze et a la taille plutôt fine. Sa stature est assez mince bien qu'elle soit musclée. Son corps est rempli de cicatrices, preuves de sa longue expérience du combat. Elle a la peau bronzée typique des sud-américains. Lorsqu'elle fut faite prisonnière, elle portait un uniforme militaire de camouflage vert et un béret de même type sur la tête.
Caractère : Rimelda est une femme qui de prime abord parait extrêmement froide et distante. Elle possède effectivement un caractère très dur et une personnalité très forte, bâtis par des années de combats en tant que militaire puis mercenaire. La mort de lui fait pas peur et voir des cadavres ne l'émeut pas. Elle rumine sa vengeance depuis si longtemps qu'elle ne se souvient plus avoir éprouvée d'autre sentiment que la haine.
Malgré tout, elle reste une femme avec toute la sensibilité qui va avec et ne rechigne pas à laisser parler son corps lorsque l'envi lui en prend. Elle n'hésite pas non plus à faire la fête et à se prendre une bonne cuite. Elle n'est pas solitaire et ce même si elle semble associable.
Ven 18 Juil - 23:52
c'est pas moi l'admin de ce forum, ni le modo 
