Alexan Marishal

Nom : Marishal

Prénom : Alexan

Age : 15 ans

Sexe : masculin

Lieu de naissance : Londres

Durée de condamnation : non jugé

Histoire personnelle

Alexan est mis au monde le 5 mars 1991 à Londres. Sa mère d’origine française meurt en couche. Il reste donc seul avec son père, un général respecté, dont la réputation s’étend à toute l’Angleterre. Cet illustre personnage se voue corps et âme à sa carrière militaire jusqu’à ce fameux 5 novembre 1996 où il rencontre William, un jeune militaire forcé de s’enrôler dans l’armée par ses parents. Au premier regard, le prestigieux général tombe éperdument amoureux de sa nouvelle recrue. Il se découvre donc homosexuel ; mais cette nouvelle tendance du grand général suscite de vives contestations, particulièrement celles d’un lieutenant homophobe qui à partir de ce jour, voue une haine sans limite à Alexan, son père et William. Le général Marishal est forcé de démissionner de son poste. Après ça, ils partent tous les trois vivrent à Brighton, l’ex-général commence alors à prendre conscience de l’existence de son fils et à y participer. Cependant, le fameux lieutenant, en même temps qu’il les hait, ne peut s’en séparer ; c’est ainsi qu’il demande à être muté à Brighton. Il devient alors obsédé par l’idée de détruire cette famille.

Alexan vécut alors les plus belles années de sa vie, couvert d’amour par deux hommes peu viriles il faut l’avouer, mais qui lui donnent tout. Dans un même temps, son père change totalement, se féminisant, allant jusqu’à renier ce pourquoi il avait vécu jusqu’ alors : l’armée. Il se jure alors d’éloigner le plus possible son unique enfant de ce monde si violent. C’est là que notre cher militaire homophobe entre en scène. On ne sait comment il eut vent de cette idée fixe que s’était donné son ancien supérieur mais, dès qu’il en pris connaissance il élabora un plan ... Il s’arrangea pour se retrouver seul avec Alexan à la sortie de l’école, l’innocent enfant, très influençable de par son âge accepta la proposition d’apprendre à manier des armes juste pour s' amuser, un loisir qu'il faut à tout prix garder secret et qui donne une certaine fierté. Pendant quatre ans il suit une séance de tir par semaine avec un instructeur très qualifié, outrepassant ainsi les ordres de son procréateur. Bien sur, au début de l’apprentissage ce fut un vrai calvaire. Le recul de l’arme lui a déboîté l’épaule la première fois, ce qui a eu pour résultat la création d’un énorme mensonge, qui évidemment n’a pas pris sur ses parents et lui a valu une surveillance rapprochée pendant quelques mois. Au bout de quatre ans Alexan se débrouille plutôt bien. Il n’a que treize ans. Sauf qu’en même temps qu’il lui enseigne l’art de la précision de tirer, le lieutenant devenu général, lui inculque aussi une valeur des choses peu recommandables : racisme, égoïsme …

C’est là que les choses se gâtent, Alexan finit par étouffer d’être tant couvé, et son sale caractère prend le dessus. C’est ainsi qu’il finit par se retrouver face à un mur. Il a reçu parallèlement deux éducations : celle d’un homophobe manipulateur charismatique et celle de deux homosexuels passionnément amoureux qui vivent dans leur bulle … Pour Alexan le choix est vite fait. Le lendemain, il pète littéralement les plombs, il se met à injurier son professeur de français sans aucune retenue, puis sort finalement de la salle de classe en rage. Il ne rentre pas chez lui, ce soir là il dort chez le général. Et après avoir passé une nuit agitée à ruminer sa haine, au petit matin il vole en douce une mitraillette à son hôte et rentre en cours envoyant une rafale de balles sur Madame Doe et tous ses camarades sans autre forme de procès. En ressortant du bâtiment il tue tout ce qui se trouve sur son passage, une lueur de démence dans les yeux. Il reprend le chemin de la maison, ouvre la porte d’un énorme coup de pied pour se retrouver face à un groupe de policiers. Car son père se rongeait les sangs du fait qu’Alexan n’était pas rentré la veille. Celui-ci jette l’arme aux pieds de son père avec désinvolture avant de lui cracher au visage. Son père reste pétrifié tandis que son fils est incarcéré pour « massacre dans l’école de Chesfield » Car les journaux ne se privèrent pas d’inventions. « Des centaines de mort », « des enfants torturés » … et j’en passe ! Le père d’Alexan en mourut de chagrin, suivit de près par son amant, tandis que le Général jubilait de sa victoire dûment remportée sans s’attirer le moindre ennui.

Alexan est vu par quelques psychiatres qui restent indécis sur ce cas étrange. Ils ne voient qu'un enfant égocentrique devant eux, qui a pété les plombs mais a l'air tout à fait normal. Ce n'est même pas de la schysophrénie puisqu'il est conscient des ses actes. Il est tout de même surveillé de très près avant d' être envoyé en maison de correction.Là-bas il réintégre son attitude d’ange aux yeux ravageurs. Seulement, à défaut d’être un modèle de conduite, Alexan a toujours été doté dune extrême intelligence. Et à force de cogiter dans sa cellule, il finit par comprendre qu’il s’est fait manipulé comme un vulgaire pantin. Et autant dire que ça ne lui a pas du tout plu, à tel point qu’il met tout en œuvre pour s’enfuir et assassiner son marionnettiste. Sa tentative d'évasion rate, le fait qu'il n'ait parlé de son projet à aucun des autres adolescents ou enfants installe une tension dans la cellule. Finalement, après un conciliabule entre délinquants de tout genre, voici ce qui se décide« Un gamin de quinze ans qui tente de s' évader sans avertir qui que ce soit … faut lui montrer qui commande ici. »
Seulement, ce qui au départ ne devait être qu' une simple remise en place tourne au bain de sang, un mort et deux blessés graves, Alexan s'en tire avec une fracture du tibia ; cependant c’était de la légitime défense. Là, il a bien fallu se rendre à l’évidence : cet enfant ne pouvait rester ici, c'était trop dangereux et pour lui, et pour les autres . Il n’y avait que deux solutions : la camisole chimique ou la cryo. Comme Alexan était mineur et qu’il n’avait plus de famille, les jurés ont décidé pour lui. Logiquement ils auraient dû lui en parler mais ils n’ont même pas pris cette peine, un coup de matraque sur la tête et « hop » à la cryo ! Tout ça n’est pas très légal, mais la science est au dessus de toute loi ! Et puis après tout un enfant que personne ne regretterait en cas de problème, c'était une opportunité à ne pas rater.

Histoire professionnelle

Ses premières années de maternelle se sont déroulées à Londres dans une petite école publique. Il a fait le reste de sa scolarité à Chestfield, c’était un élève brillant qui avait un talent inné pour l’écriture. Il souhaitait devenir écrivain quand son éducation s’est brusquement arrêtée. Utopie d’enfant pourri gâté ? On ne le saura jamais …
Pour le reste, il a suivi des cours de tirs avec un lieutenant.

Description physique

Alexan mesure 1m 61 pour 52 kilos.. Il a des cheveux blonds, un visage dont les traits sont très durs pour quelqu’un de son âge, ses yeux marron contrastant avec la blancheur de sa peau lui confèrent un regard assez dérangeant et dur à soutenir. Mais malgré tout c'est un de ces mômes qu'on a envie de croquer : le sourire avec les focettes et les grands yeux attendrissants. Il est toujours affublé d’un jean noir, d’un T-shirt blanc et d’une veste kaki. A première vu, on dirait un ange mais quand on append à le connaître c’est loin d’en être un. Ni trop maigre, ni trop gros, il est en bonne santé, musclé.

Caractère

Alexan a une double personnalité, l’une qu’il adopte quand il est dans le nid familial : doux, câlin, rêveur, un peu introverti. La seconde qui représente son vrai caractère est beaucoup moins attendrissante, se plaçant à l’opposé de sa façade « enfant modèle et aimant »
Belliqueux, hypocrite, vantard et insolent avec les garçons, il n’a jamais accepté l’homosexualité de son père qu’il n’a jamais considéré que comme son père biologique. Considérant son changement de sexualité comme une injure vis-à-vis de tout ce que sa mère représentait à ses yeux. William représentait donc son seul et unique père. Si il pouvait être éxécrable avec les garçons, avec les filles, c’était une autre histoire. Prêt à tout pour ces jolies (petites) filles mais déjà briseur de coeur invétéré, un vrai tombeur avec sa bouille d'ange. Alexan est un être égocentrique et narcissique. Comment ? N’aviez vous pas remarqué que les astres tournent autour de lui ? Lui avant tout, son bonheur, son bien-être, les autres peuvent bien crever, d’ailleurs c’est ce qu’il se passe. Cela lui procure un amusement temporaire, un passe-temps comme un autre vous répliquerait-il. C’est quelqu’un de « peu fréquentable »

Signes particuliers

AUCUN

Très belle fiche Alexan ! Bienvenue sur TC !

Et bien, je ne trouve rien à redire, c'est parfait tout ça =)


Allez, [Fiche Validée]

Humhum...

Il est rare que je me mèle de ce genre de trucs mais...

Je ne trouve pas ca parfait.

Car déjà à 8 ans, notre cher protagoniste était un lover hors pair avec sa bouille d’ange et sa conception du romantisme très évoluée grâce à ses parents.
Ensuite, une fois en taule, il se libère (faut croire que c'était une taule en carton), retourne sur les lieux du crime, revient, tue les autres prisonniers (il s'agissait d'autres enfants j'imagine ?)
Prêt à tout pour ses dames mais briseur de cœur invétéré (avec les enfants, j'imagine ?)
Au bout de quatre ans Alexan est un as du tir. Il n’a que treize ans. (ben tant qu'à faire, autant etre un sniper, heureusement, ya plus d'armes ^^)
La rumeur se propage vite, et ses autres compagnons de cellule ont fini par se méfier de lui. « Un gamin de douze ans qui règle son compte à un mili’ … faut le tuer ou on va tous y passer. » (la encore, j'imagine que ce n'est qu'une rumeur, quoiqu'apres etre sorti de son bloc psychiatrique ou de sa prison, il rerentre peinard, tue des gens et n'est pas mis sous psychotropes ou à l'isolement)

Donc, j'avoue ne pas trop comprendre, tout ceci est dans sa tête ?

Arikan

Je suis daccord avec Arikan. Je trouve ça un peu poussé... Je pensais que les perso de ce jeu devaient coller à la réalité, or là ça devient complètement irréel. Je trouve ça juste un peu trop abusé, limite ridicule. Un gamin de 12ans, même s'il est très grand pour son âge aura quand même du mal à tuer un militaire aguerri, plus tous les pensionnaires d'une maison de correction où il n'aurait jamais du aller (pour moi, avec le massacre de l'école, c'est direct en isolement psychiatrique). Une mitraillette, c'est aussi pas très discret et dur à cacher. Mais bon, pourquoi pas... C'est surtout le fait de savoir comment il l'a trouvée, parce que ça pousse pas sur les arbres ces machins-là. Après, comment le fameux lieutenant homophobe a-t-il prévu le pétage de plomb du gosse ? Parce que je ne vois pas trop la raison de sa crise d'hystérie. Surtout que le tir à la base c'était pour draguer les filles (si tant soit est que c'est un critère de drague prépubère).

Et pour finir, comment savoir les répercussions d'une cryo sur un organisme dont la croissance n'est carrément pas finie ?

Ok, je vois que j'ai pas donné assez de détails. Ensuite pour la cryo c'est pas moi qui décide, si les MJ veulent que j'ai des problèmes j'en aurai.
Et puis evidemment lover avec les gamines de son âge. Pour le reste vous pouvez relire j'ai corrigé ce qui était vraiment trop tiré par les cheveux.

... ralalala les gens soyez pas jaloux si vous faisiez un tour par ma fihe vous veriiez que mon perso aussi est un precoce..;enfin c'est clair que sa fait un peu catharsis d'ado boutonneu en manque d'amour la

voila c'etait le petit mots du vieu con XD

Je t'ai dis ce que j'en pensais .. je pense que ça devrait être correct..